31 mai 2021
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Les Tyroliens privilégient de plus en plus les aliments produits dans les environs. En de nombreux endroits, ils ont réagi en ouvrant de nouveaux magasins fermiers. Ellbögen en a désormais une. Et les habitants d'Ellbög en sont très fiers, à juste titre !

ANIMATION DE LA NOUVELLE PLACE DU VILLAGE

Le magasin est pour ainsi dire le cœur de la place du village nouvellement aménagée dans le quartier de St. Il constitue la seule possibilité d'approvisionnement de proximité dans le village et est donc également un petit point de rencontre. Mais on est également fier du fait que le Ladele est exclusivement approvisionné par des producteurs locaux.

PROMOUVOIR L'AGRICULTURE LOCALE

"En ce moment, nous sommes cinq", m'explique Herbert Miller, le président de l'ARGE Ellbögner Bauernladen. Je me dis qu'il est étonnant que l'offre puisse être aussi large et j'inspecte les étagères remplies de pâtes, d'œufs, de lait, de thé, d'épices, de pommes de terre, de lard, de saucisses, de Kaminwurzen et d'un bon choix de viande. Les légumes devraient suivre - ils sont déjà cultivés dans les champs ensoleillés.

En ce qui concerne la viande, c'est Reinhard Ribis qui s'y colle. Alors qu'Herbert élève environ 500 poulets dans son Schallerhof, Reinhard s'est spécialisé dans l'élevage de porcs et de bovins. Jusqu'à présent, aucun des deux n'a commercialisé ses produits à grande échelle. La nouvelle possibilité de vente au Ladele leur convient donc parfaitement. Et le client en profite également : "Prenez de la viande de Reinhard et des pâtes de moi, et le tour est joué", dit Herbert en riant.

IL NE MANQUAIT PLUS QUE LE PAIN !

Nous nous rendons à la ferme de Reinhard Walzer. Il est situé bien au-dessus du centre du village. C'est là que se trouvent les points de départ de la randonnée à pied ou à vélo jusqu'à l'alpage Arztaler Alm ou de la promenade jusqu'au vénérable moulin d'Hinterloch.

Magdalena, la femme de Reinhard, est en train de cuire du pain. "Que serait un magasin de produits fermiers sans pain ?", demande-t-elle, une question légitime, en façonnant habilement la pâte en forme de cœur. Les mardis et vendredis, les miches fraîchement sorties du four sont disponibles au Ladele.

Devant la ferme, son fils Kilian joue. Lorsque nous, les adultes, voulons aller voir le bétail, le petit garçon de 11 ans se joint à nous. Pas de doute : il s'y connaît dans l'étable ! Actuellement, Reinhard engraisse huit porcs, mais il en engraissera davantage à l'avenir. Non loin de là se trouvent une vingtaine de bovins de races anciennes. Contrairement à Herbert, Reinhard travaille à temps partiel dans l'agriculture. Il est boucher à plein temps, ce qui explique bien des choses.

FAIRE DU LARD COMME SCIENCE

Toutes les deux semaines, cet homme de 49 ans se met au travail. Il travaille sa propre viande, celle des fermiers voisins et achète parfois des produits d'autres régions du Tyrol. "Le lard mûrit pendant cinq mois dans la cuisine de salaison jusqu'à ce qu'il soit parfait", explique Reinhard. Il préfère ne pas parler du mélange d'épices : "C'est secret. J'ai promis de ne rien révéler", dit-il en souriant.

Ensuite, nous entrons dans les détails concernant la salaison, la bonne température et d'autres astuces pour réussir le fameux délice tyrolien. Après avoir tant parlé, nous passons enfin à la dégustation. Le verdict est sans appel : sensationnel ! J'en ai bien sûr emporté un morceau à la maison. Kaminwurzen et pain également. L'incontournable Schnapsl n'a bien sûr pas manqué 🙂

Photos : Tamara Kainz, privé

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